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Ado et toxico !

Deux interrogations viennent immédiatement faire écho à une telle question.

De quel enfant et de quelle drogue s’agit-il ?

Quel âge a cet enfant ?

Les conduites addictives sont repérées habituellement chez les pré-adolescents et adolescents, avec une période critique situées entre 13 et 18 ans. A cet âge plus encore qu’à un autre, les parents doivent être vigilants afin de maintenir, dialogue et échange, avec leurs enfants. Toutefois ces conduites ne revêtent pas toutes un caractère pathologique comme le craignent les parents. En effet, de même que le petit enfant apprend à se méfier des dangers quotidiens par assimilation des interdits parentaux et par ses propres expériences, pour l’adolescent, les conduites à risque constituent des constantes de la vie et des supports d’apprentissage. La question que doivent se poser les parents d’adolescents se pose en ces termes : jusqu’où la mise en danger que s’inflige mon enfant est-elle support du processus de maturation normal, quand devient-elle destructrice.

De quelle drogue s’agit-il ?

Le terme de Drogue revêt aujourd’hui les habits du Mal absolu. Or, faut-il le préciser, il y a des drogues plus dangereuses que d’autres et des manières d’utiliser ces produits plus nocives que d’autres (ingestion, injection, inhalation). La catégorisation classique – drogues illicites (cannabis, héroïne, cocaïne), drogues récréatives (alcool, tabac), et drogues utilitaires (médicaments psychotropes)- est trompeuse en matière de dangerosité. Pour l’essentiel, il faut savoir que la toxicité des substances réside plus dans les quantités ingérées et dans le mode d’administration, que dans la substance même. Ainsi est-il important de ne pas traiter séparément l’usage de substances licites de celles illicites, sachant qu’un abus peut en entraîner un autre et qu’il existe des synergies liées à l’utilisation de différentes drogues Plus que le produit, c’est le contexte individuel et social dans lequel son usage s’inscrit, qui est à examiner.

Le parent est toujours le dernier à savoir

La découverte de la toxicomanie d’un enfant intervient souvent tardivement, comme si le dialogue, la connaissance intime que le parent avait de son enfant, s’étaient évanouis. Pour prévenir ces découvertes trop tardives et aider les adolescents dont les conduites à risque les poussent vers la toxicomanie, on peut conseiller :

– Etre vigilant à certains signes tels, l’absence de communication dans la famille, la dépression, l’anxiété et les troubles du sommeil de l’enfant et de l’adolescent, les absences scolaires.

– Favoriser le dialogue, informer parents et enfants. Réduire les décalages de savoirs et représentations entre jeunes et adultes, informer les parents sur les processus de maturation à l’adolescence. Il est établi qu’un enfant qui a connaissance des phénomènes liés à la toxicomanie a moins de risques de devenir lui-même toxicomane.

– Lorsque la toxicomanie de l’enfant est avérée, il existe des consultations de dispensaire et de secteur infanto-juvénil, de CMPP et des centres de soins aux toxicomanes.

– Parfois des interventions moins stigmatisantes sont utiles, les points écoute sont alors utiles. Lorsque le parent ne pose plus la question en ces termes : Mon enfant se drogue, mais qu’il se dit : Mon enfant présente des conduites à risque qui l’on mené à utiliser des substances psychotropes et nous voulons en parler, l’aider et comprendre, il peut constituer, avec un professionnel, des groupes de parole entre parents. – Il est parfois utile d’introduire un tiers (issu de la famille élargie, professionnel ou bénévole) entre les parents et l’enfant, afin de diversifier les repères identificatoires de l’adolescent toxicomane.

Article réalisé par Ekko

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