Dans le passé, la souscription d’un contrat d’assurance-vie donnait droit à une réduction d’impôt. Cet avantage n’existe plus sauf pour certains contrats et sous des conditions strictes. En revanche, les intérêts et les plus-values (profits) bénéficient d’une fiscalité clémente. Si vous ne faites aucun retrait pendant une durée de huit ans, vous avez droit à un abattement de 4 573, 47 Euros (personne seule) ou 9 146, 94 Euros (couple marié). Les produits excédants ces plafonds sur une même année font l’objet d’un prélèvement spécifique de 7,5% seulement. Ce qui est nettement plus doux qu’une taxation au barème de l’impôt sur le revenu. Hélas, comme tous les placements, les revenus de l’assurance vie subissent la contribution sociale généralisée (CSG) au taux de 7,5% (à ne pas confondre avec le prélèvement spécifique au même taux), la contribution au remboursement de la dette sociale (CRDS) de 0,5% et 2% de contributions, soit un prélèvement de 10% au titre des contributions sociales. Un million sans impôt L’assurance vie reste un produit idéal pour transmettre un capital à vos héritiers. Ainsi, depuis le 13 octobre 1998, on peut transmettre sans droits de succession un capital de cent cinquante deux mille quatre cent cinquante Euros à chaque bénéficiaire désigné. Au delà, le capital est taxé de manière forfaitaire à 20%. Attention, les primes versées après les 70 ans du souscripteur ne sont exonérées qu’ à hauteur de 30 489, 80 Euros. En savoir plus sur l’offre de La Compagnie des Femmes Par téléphone 01 70 64 83 36